Au début, l’appelant demande quelle attitude adopter avec un proche qui l’inquiète. Le bénévole l’écoute attentivement et tente de l’aider à supporter cette épreuve. Mais après une dizaine de minutes, il s’avère qu’il est directement concerné et qu’il veut vraiment se suicider. Quelle sera la bonne attitude à adopter ? Est il possible de refuser cet appel ? Dans l’affirmative, comment ? Comment gérer les silences ? Est il utile de lui proposer l’aide d’une unité mobile d’urgence sociale ? Quelles émotions cet appel évoque t il ? Y a-t-il une tentative de chantage ? Comment ne pas rompre le dialogue ? L’écoutant peut il demander de quelle manière il se suicidera ? Si il pense à sa famille ?
143 - Geneva, Switzerland